agent pathogène

du bien-être.

Marguerite, la vache pleine de conscience. Et si on décidait d’être heureux ? Un livre écrit par la co-fondatrice de daag, pour apprendre à cultiver l’instant présent, développer l’estime de soi, suivre son intuition et prendre sa vie en mains.


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contenu du livre

Quatre contes, assortis de tests et de mises en pratique, illustrent de manière originale les bases du développement personnel, pour apprendre à cultiver l’instant présent, développer l’estime de soi, suivre son intuition et prendre sa vie en mains.

auteur

Agnès Grêt, co-fondatrice de daag

éditeur

Publié aux éditions Michel Jonasz

présentation

Quatre petites histoires viennent toucher notre inconscient, notre âme et notre cœur, pour nous amener à évoluer et à éveiller notre conscience – des métaphores que nous pouvons lire et relire, avec chaque fois un regard différent sur la vie et sur nous-mêmes.

En compagnie de Marguerite la vache, Max le crabe, la chouette Diva et Bruno le renne, nous abordons des sujets essentiels comme l’attention à l’instant présent, l’estime de soi, l’intuition et le déploiement de nos forces.

Au fil des contes, des tests et des mises en pratique qui sont de belles expériences à vivre, nous sommes guidés dans le développement de notre plein potentiel. Les messages inspirants délivrés par ces compagnons de route singuliers parlent aussi bien à l’adulte que nous sommes qu’à notre enfant intérieur.

Et si on décidait d’être heureux ?

mots & expressions-clés

Méditer, respirer, liberté d’être soi, créativité, reconnaître les signes, être responsable de sa vie, prendre des décisions, savoir pardonner.

court extrait du livre

Extrait de l’introduction

«Des travaux de psychologie ont montré que nous sommes perçus comme plus intelligents quand nous tenons des propos négatifs plutôt que positifs, même si la teneur des affirmations est d’égale qualité. Autrement dit, en étant optimiste, on risque de paraître un peu niais.»

L’estime que l’on porte à la quête de réussite, de prospérité, voire à la quête d’amour ou de bonne santé semble «bien sous tous rapports». On nous regarde rarement de travers au dîner dominical si nous abordons les étapes clés pour atteindre une belle situation professionnelle ou pour se sentir physiquement en forme. Qu’en est-il si nous engageons la conversation sur le bonheur et ses fondamentaux, si nous clamons que notre objectif n’est autre que le bien-être ici et maintenant, le partage et l’humanisme pour un monde plus heureux ? Belle-maman tourne de l’oeil ? Beau-papa tente de vous ramener les deux pieds sur terre et la tête sur les épaules ? On éprouve bien souvent plus d’intérêt et de considération à l’évocation de sujets graves, dramatiques ou bouleversants. Ce constat est désolant : pour avoir de la contenance, tenez des propos choquants, empreints de tristesse ou de violence ; pour être un bon journaliste, trouvez la faille, cherchez le conflit, montrez la misère ; pour devenir crédible, laissez transparaître un passé difficile et chaotique. Et pourtant…

Le premier pas vers le bonheur n’est-il pas justement de se libérer de ce que les autres pensent pour être enfin soi-même, en toute cohérence et bienveillance ? Comme la plupart d’entre nous, j’ai engrangé une multitude de croyances qui se sont avérées des barrières dans ma vie professionnelle, sentimentale ou sociale. Des peurs plus ou moins profondes qui m’ont longtemps poursuivie dans mes choix quotidiens. La peur de souffrir, celle d’être abandonnée, d’échouer, voire même celle de réussir… Mais par peur de ne jamais trouver notre étoile, devons-nous viser uniquement le premier versant de la lune ? J’ai reçu également deux forces énormes : l’intime conviction que la vie nous offre toujours ce qu’il y a de mieux pour nous, et la certitude que nous avons bien plus de pouvoir sur notre vie que nous voulons l’admettre.

Je veux transmettre que nous méritons tous de croire en nous, que c’est notre premier devoir, que la foi en soi se gagne, se gravit comme un escalier, un pas après l’autre, en avançant toujours sur le chemin que l’on s’est choisi. Que la foi en soi donne la force, le courage, et permet de viser les étoiles pour atteindre, non pas seulement la lune, mais la plus belle de toutes les constellations.

Décider d’être heureux et promouvoir le bonheur fait partie de nos devoirs d’hommes libres. Les adeptes d’une philosophie sceptique et d’une information négative choc, les fidèles du journal télé des mauvaises nouvelles, les intellectuels torturés et les éternels chercheurs de failles seront alors forcés de constater que c’est possible. Que le bonheur est un choix pertinent, voire brillant; qu’une attitude positive, qui paraissait un peu naïve, est en fait une force avérée, une arme des plus puissantes qui devient aujourd’hui une nécessité vitale pour notre société.

(…)

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